Attribut du mois : Sans lactose

Le lactose, un sucre présent dans les produits laitiers (lait, yogourt, fromage, crème, etc.) suscite souvent des questionnements en matière de nutrition et de santé. Alors que plusieurs digèrent le lactose sans problème, d’autres rencontrent des symptômes désagréables en raison d’une intolérance au lactose ou de l’allergie au lait. Comprendre la digestion de ce sucre et connaître les aliments qui en contiennent est essentiel pour éviter ces désagréments. Plongeons dans l’univers du lactose, découvrons les nuances de l’intolérance et de l’allergie au lait, et explorons les solutions pour vivre sereinement avec ces conditions. 

Le lactose 

Le lactose est un sucre naturel présent dans le lait, formé de glucose et de galactose. Pour l’absorber correctement, notre corps utilise une enzyme appelée lactase, produite dans l’intestin grêle. 

L’intolérance au lactose 

En bas âge, la lactase est naturellement produite par notre intestin. Or en vieillissant, la production de cette enzyme décroit. Lorsque notre corps ne produit pas assez de lactase, cela mène à l’intolérance au lactose. Les symptômes incluent des ballonnements, des douleurs abdominales, des gaz et de la diarrhée après avoir consommé des produits laitiers. Contrairement à l’allergie au lait, l’intolérance ne déclenche pas de réponse immunitaire. 

Gestion de l’intolérance : 

  • Consommer des produits laitiers sans lactose. 
  • Utiliser des suppléments de lactase. 
  • Opter pour des alternatives végétales (voir liste ici-bas). 

L’intolérance au lactose dans le monde 

L’intolérance au lactose a un impact significatif sur les habitudes alimentaires et culturelles. Saviez-vous que 68% de la population du monde entier est intolérante au lactose ? Dans les régions à haute prévalence, les produits laitiers ne font souvent pas partie de l’alimentation quotidienne, et des alternatives comme le lait de soya, d’amande ou de riz sont couramment utilisées. Les cuisines traditionnelles dans ces régions ont souvent évolué pour inclure peu ou pas de produits laitiers, favorisant d’autres sources de calcium et de protéines.  

Les différences de prévalence de l’intolérance au lactose entre les régions du monde peuvent être attribuées à des facteurs historiques, génétiques et culturels. Les populations ayant une longue histoire de consommation de produits laitiers, comme en Europe du Nord, ont développé une tolérance au lactose grâce à la sélection génétique. À l’inverse, dans les régions où les produits laitiers n’ont pas été traditionnellement consommés, comme en Asie, la tolérance au lactose est beaucoup moins courante. Cette variation génétique reflète l’adaptation des populations à leurs environnements et régimes alimentaires locaux sur des milliers d’années. 

L’allergie au lait 

L’allergie au lait, quant à elle, est une réponse immunitaire aux protéines du lait de vache, telles que la caséine et le lactosérum. Elle peut entraîner des réactions graves allant de l’urticaire aux problèmes respiratoires, et même à l’anaphylaxie. 

Gestion de l’allergie : 

  • Éviter strictement les produits contenant des protéines de lait. 
  • Lire attentivement les étiquettes alimentaires. 
  • Avoir de l’adrénaline injectable en cas de réaction grave. 

Alternatives et options sans lactose 

Pour ceux qui souffrent d’intolérance au lactose, de nombreuses alternatives existent : 

  • Lait et produits laitiers sans lactose. 
  • Laits végétaux (soya, amande, avoine, riz, etc.) 
  • Fromages et yogourts sans lactose. 
  • Yogourts végétaux (soya, noix de coco, amande, etc.) 
  • Fromages de cajous, « fauxmages ». 
  • Beurres et crèmes sans lactose. 

Pour découvrir une grande variété de produits et des recettes sans lactose, visitez Metro

Bien que l’intolérance au lactose et l’allergie au lait soient souvent confondues, elles nécessitent des approches distinctes. Grâce aux options sans lactose et aux alternatives végétales, il est possible de maintenir une alimentation variée et équilibrée tout en évitant les désagréments et les risques pour la santé. 

Produits DUX sans lactose

Voici certains de nos coups de cœur, gagnants du Match DUX ou des Grands Prix DUX !

Tartinades de noix de cajou
Gamme de fauxmage
Sauce Mac ‘n Cheeze

Fauxmagerie Zengarry

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Ayant comme principal ingrédient la noix de cajou, elles sont une alternative végétalienne riche en protéines, en nutriments et en bons gras, contrairement aux tartinades de fromage généralement riches en gras saturés.

Aviva Alternative

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Aviva est la première alternative végétale aux fromages, nutritive et faite à base de légumineuses, plus spécifiquement d’haricots blancs canadiens. Leurs produits sont une façon facile, délicieuse, et écoresponsable d’obtenir de nutriments importants et le plaisir du fromage, sans le lait.

LeGrand

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Un Mac ’N Cheeze à base de plantes, sans produits laitiers, sans sucre ajouté, sans gluten, mais tout aussi délicieux et crémeux. Grâce à un processus de fermentation innovateur et à un mélange unique de noix de cajou, de pommes de terre et de carottes, vous pouvez savourer votre Mac ’N Cheeze en bonne conscience.

Boisson d’avoine Barista

Oatbox

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Il s’agit de la première boisson d’avoine Barista professionnelle, produite au Québec. Elle saura rendre vos lattes, cappuccinos et autres boissons chaudes non seulement plus délicieuses, mais plus onctueuses que jamais.

Bloc style cheddar

Maison Riviera

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Un goût riche et une texture fondante qui rivalise avec celle d’un fromage laitier, en plus d’en faire la garniture parfaite pour vos recettes chaudes ou froides favorites. 100% végétal, fait avec de l’avoine certifiée sans gluten et cultivée au Canada.

Gamme de boissons protéinées
à base de plantes

Nälkä Nutrition

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Fait d’ingrédients d’origines végétale et 100% biologiques. Ces boissons vous garantit une sensation de satiété tout en étant enrichi en vitamines et minéraux essentiels pour couvrir l’ensemble de vos besoins nutritionnels.

 

Les trucs de grand-mère à l’assaut du gaspillage !

Par Caroline Trudeau

On le sait, la notion de gaspillage alimentaire ne peut plus être ignorée. À l’ère où la militante écologiste Greta Thunberg a été pressentie pour le prix Nobel de la paix (rien de moins !), où le véganisme gagne des parts de marché grandissantes, où le vrac dépasse largement le comptoir de bonbons – et en raison de la pandémie qui nous a forcés à revoir notre consommation alimentaire -, nos façons de faire sont dictées par une conscience environnementale accrue. En 2023, toutes les sphères de la société sont d’ailleurs en train de s’adapter à cette réalité sur laquelle on ne peut plus fermer les yeux. Mais comment s’y prendre pour changer nos habitudes sans tomber dans l’anxiété et le doute constant de ne jamais en faire assez ? Notre vision de la chose, c’est de revenir à l’essentiel et de privilégier des techniques vieilles comme le monde.

Ma grand-mère disait toujours …

Cette expression qu’a Boucar Diouf pour commencer toutes ses histoires pourrait facilement s’appliquer à la plupart des gestes de notre quotidien. En effet, nos grands-mères avaient déjà compris bien des choses en matière de respect de l’environnement et, si on s’était davantage collés à leurs pratiques, peut-être n’en serions-nous pas à chercher des solutions pour sauver la planète. Bon d’accord, les générations qui nous ont précédés n’avaient peut-être pas en tête la préservation de l’environnement lorsqu’elles conservaient leur viande dans le sel, mais il n’en reste pas moins que cette technique ne nécessite pas d’électricité, ne contient pas de produits chimiques et permet de conserver la viande de six mois à un an. Qui dit mieux pour limiter notre empreinte écologique ?

En plus, c’est une manière utile de conserver la viande et de faire des provisions de façon sensée. Ce petit exemple est probant pour nous aider à repenser notre consommation d’aliments et à réfléchir à des moyens d’être moins polluants dans notre alimentation. Notre philosophie s’inspire donc de plus en plus du mode de vie de nos aïeuls et nous amène à nous poser constamment la même question : qu’est-ce que ma grand-mère ferait ?

La technique de salaison

Pour un salage à sec, frottez la viande avec du sel mélangé de salpêtre (nitrate de potassium) ou de cendres de bois. Il faut saupoudrer la pièce de viande allégrement afin d’en saturer les moindres crevasses. Disposez ensuite la viande dans un saloir en intercalant une couche de viande avec une couche de sel. Conservez la viande au saloir pendant six mois.

Une sécheresse planifiée

Une autre technique qui a fait ses preuves est la déshydratation. Qui n’a pas en tête une belle villa italienne où des piments sont suspendus par grappes pour sécher tranquillement au soleil ? Là aussi, votre grand-mère pourrait vous en apprendre beaucoup sur la question. Pourquoi la déshydratation serait-elle bénéfique pour contrer le gaspillage alimentaire ? Tout simplement parce qu’ainsi apprêtés, les aliments peuvent être conservés jusqu’à deux ans. Que je ne voie plus aucun poivron (ou carotte, ou banane, ou raisin, ou tomate…) être jeté parce qu’il aura flétri ! L’absence d’eau empêche le développement de microorganismes (allô, la moisissure !) dans l’aliment et retarde ainsi sa dégradation. Pour ce faire, nul besoin d’outil de pointe, puisque vous pouvez faire sécher vos aliments dans un four traditionnel.

Grâce à cette technique, il devient très facile de limiter votre gaspillage alimentaire et ça vous permettra de découvrir vos aliments sous un autre jour. Si jamais vous n’êtes pas friands des croustilles de concombres, consolez-vous puisque vous pouvez sans problème les réhydrater dans l’eau.

L’éternelle poche de thé

Vous vous souvenez de cette vieille poche de thé que vous tentez désespérément de réutiliser ? Voici comment faire !

  • Une fois votre poche infusée, faites-la sécher à l’air libre ou au four à 200 °F.
  • Broyez les feuilles de thé et faites-en un exfoliant avec du sucre de canne et un peu d’huile de coco.
  • Ou saupoudrez-les dans vos plantes, ça leur servira d’engrais.
  • S’il s’agit d’un thé noir, réinfusez-le et remplissez de votre infusion un contenant à vaporisateur. Une fois le tout refroidi, vous pouvez en vaporiser sur votre tignasse pour camoufler les cheveux gris !

Poussent, poussent, poussent, les bons légumes !

Pour avoir des fruits et des légumes frais, il n’y a rien de mieux que de se créer son propre jardin. Et ça tombe bien, c’est exactement ce que votre grand-mère ferait ! Cette idée n’a rien de révolutionnaire, mais il est grand temps qu’elle fasse son chemin jusque dans votre cour. Avoir votre jardin, ça vous permet de devenir votre propre maraîcher et d’avoir accès à des fruits et légumes biologiques quand bon vous semble.

Fini les pesticides, fini les coûts élevés et fini la surproduction qui mène inévitablement au gaspillage alimentaire. Décroissance, vous avez dit ? Avoir un jardin dans votre cour vous permettra même de limiter vos émissions de gaz à effet de serre puisque vos allers-retours à l’épicerie risquent d’être moins nombreux. Avouez que descendre les marches de son perron, c’est pas mal moins long que de se rendre à l’épicerie et, en plus, ça se fait exclusivement à pied ! Et, bien que l’été tire à sa fin, il n’est jamais trop tard pour commencer à préparer son jardin de l’été prochain, ou pourquoi pas se faire pousser quelques épices ou légumes d’intérieur ?

Quel est VOTRE truc de grand-mère pour diminuer le gaspillage alimentaire ? Faites-nous savoir en commentaire !

Attribut du mois : Sans Gluten

Les attributs sont des caractéristiques des produits que vous choisissez. Ces derniers vous aident à choisir les meilleurs produits selon votre style de vie, vos restrictions alimentaires et vos besoins. Par exemple, vous pouvez retrouver l’attribut sans gluten sur certains produits sans gluten. Metro a identifié plus de 45 attributs qui vous permettront de vous guider lors de votre épicerie.

Le gluten est aujourd’hui un terme familier dans l’alimentation, mais sa signification et son impact sur la santé suscitent encore beaucoup de questionnements. Dans cet article, nous explorons en profondeur le gluten, son rôle dans la maladie cœliaque, et nous fournissons des informations essentielles pour ceux qui cherchent à mieux comprendre ses implications sur la santé.

Qu’est-ce que le gluten ?

Le gluten est une protéine présente naturellement dans certaines céréales, notamment le blé (y compris ses dérivés comme l’épeautre et le kamut), l’avoine, le seigle, l’orge et le triticale. Pour les mémoriser facilement, on utilise l’acronyme SABOT, dont chacune des lettres représente une des sources de gluten. Composé de diverses protéines, le gluten confère aux produits à base de ces céréales leur texture élastique et moelleuse caractéristique. Utilisé comme agent liant dans de nombreux aliments transformés, le gluten est consommé partout dans le monde. Cependant, il peut poser des problèmes de santé pour certaines personnes, notamment celles atteintes de la maladie cœliaque ou ayant une sensibilité au gluten.

Les aliments contenant du gluten

Les aliments contenant du gluten ne se limitent pas aux produits de base comme le pain et les pâtes. Les mélanges d’épices, les sauces préparées, les condiments et même des boissons telles que la bière peuvent souvent contenir des ingrédients dérivés des céréales. En effet, la farine de blé est couramment utilisée comme épaississant et certains aliments sources de gluten sont ajoutés comme exhausteur de goût, l’extrait de malt par exemple. Il est donc important pour les personnes souffrant d’une maladie induite par l’ingestion de gluten de lire attentivement les étiquettes des produits alimentaires pour repérer les ingrédients contenant des sources de gluten et de choisir des alternatives sans gluten pour préserver leur santé.

Sensibilité au gluten

Certaines personnes peuvent présenter une sensibilité au gluten, mais sans souffrir de la maladie cœliaque. Ces individus peuvent ressentir des symptômes tels que des ballonnements, des maux de ventre et de la fatigue après avoir consommé des aliments contenant du gluten. Bien que ces symptômes puissent être gênants, ils ne provoquent pas les dommages intestinaux associés à la maladie cœliaque. À l’heure actuelle, il n’existe aucun test pour diagnostiquer ce problème de santé, mais il demeure important de consulter son médecin si on pense souffrir de malaises en lien avec l’ingestion de gluten.  

La maladie cœliaque : une réaction auto-immune au gluten

Saviez-vous que le mois de mai était le mois de sensibilisation pour la maladie cœliaque ? La maladie cœliaque est une affection auto-immune dans laquelle le système immunitaire réagit de manière anormale au gluten. Lorsqu’une personne atteinte de la maladie cœliaque consomme du gluten, son système immunitaire attaque la muqueuse de l’intestin grêle, provoquant une inflammation et endommageant les villosités intestinales jusqu’à perforer l’intestin dans les cas extrêmes. Cela peut entraîner une malabsorption des nutriments, une déficience en fer (anémie) et des symptômes tels que des douleurs abdominales, des diarrhées, une perte de poids et une fatigue chronique.

Par solidarité aux quelques 85 000 Québécoises et Québécois atteints de cette maladie, Cœliaque Québec invite la population à s’inscrire au Défi ABDOS 100 GLUTEN et à travailler ses abdominaux, essentiellement en raison de la proximité de ces muscles avec l’intestin. En s’y inscrivant, les gens feront automatiquement partie du tirage de 1 000 $ en carte-cadeaux Metro en plus de démontrer leur solidarité aux personnes cœliaques.

Diagnostic et gestion de la maladie cœliaque

Il est impossible de s’auto-diagnostiquer cœliaque et il n’est pas recommandé de cesser le gluten avant d’avoir subi un test de dépistage. Le diagnostic implique généralement des tests sanguins pour détecter la présence d’anticorps spécifiques et une biopsie de l’intestin grêle pour évaluer les dommages. Le traitement principal consiste en un régime strict sans gluten, excluant toutes les céréales et produits dérivés qui en contiennent. Les personnes atteintes de la maladie cœliaque doivent ainsi adapter grandement leur alimentation.

Pour ceux qui souffrent de la maladie cœliaque, éviter le gluten est essentiel pour maintenir leur santé et leur bien-être. Pour les autres, la sensibilité au gluten peut nécessiter des ajustements diététiques, mais elle ne provoque pas les dommages intestinaux graves associés à la maladie cœliaque. Dans les deux cas, un suivi avec un.e nutritionniste est recommandé pour assurer une alimentation équilibrée, notamment riches en fibres, malgré l’exclusion du gluten.

Vous aimeriez consulter un.e nutritionniste ? Visitez : https://equipenutrition.ca/  

Pour un.e nutritionniste expérimentée en maladie induite par l’ingestion de gluten : https://www.coeliaque.quebec/fr/repertoire-des-nutritionnistes

Liens utiles : 

Le Chocolat Noir : bien plus qu’une gâterie ! 

Antioxydants puissants 

Le chocolat noir est riche en antioxydants, tels que les flavonoïdes, qui aident à neutraliser les radicaux libres dans le corps. Ces composés jouent un rôle clé dans la prévention du vieillissement prématuré des cellules et la réduction du risque de maladies chroniques, comme les maladies cardiaques. 

Bienfaits cardiovasculaires 

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Des études ont démontré que la consommation modérée de chocolat noir est associée à une amélioration de la santé cardiaque. Les flavonoïdes présents dans le chocolat noir peuvent aider à réduire la pression artérielle, améliorer la circulation sanguine et favoriser la santé des vaisseaux sanguins, contribuant ainsi à la prévention des maladies cardiovasculaires. 

Amélioration de la fonction cérébrale  

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Le chocolat noir contient des composés stimulants tels que la caféine, qui peuvent améliorer la vigilance et la concentration. De plus, les flavonoïdes présents dans le chocolat noir ont été associés à des bénéfices pour la mémoire et la fonction cérébrale, offrant ainsi un coup de pouce naturel à la santé mentale. 

Régulation de l’humeur 

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Le chocolat noir est souvent considéré comme un « aliment réconfortant » en raison de sa capacité à stimuler la libération de neurotransmetteurs tels que la sérotonine dans le cerveau. Ces substances chimiques contribuent à améliorer l’humeur et à réduire le stress, faisant du chocolat noir un allié précieux dans la lutte contre les baisses de moral. 

Source de nutriments essentiels 

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En plus de ses bienfaits spécifiques, le chocolat noir est également une source de nutriments essentiels tels que le fer, le magnésium, le cuivre et le zinc. Ces minéraux sont importants pour diverses fonctions corporelles, y compris la formation des globules rouges et le maintien d’un système immunitaire sain. 

En quelle quantité ? 

En général, une portion raisonnable est d’environ 20 à 30 g par jour, ce qui équivaut à quelques carrés de chocolat noir selon leurs grosseurs. Il est essentiel de choisir du chocolat noir avec une teneur en cacao élevée, idéalement 70% ou plus, car c’est cette concentration qui fournit la plupart des antioxydants et des bénéfices pour la santé. 

Il est important de noter que le chocolat noir est également une source de calories et de matières grasses, donc une consommation excessive peut entraîner une prise de poids. Il est recommandé de l’intégrer dans le cadre d’une alimentation équilibrée et de maintenir une variété dans les sources d’antioxydants en incluant d’autres aliments riches en nutriments. 

Bien que le chocolat noir soit une indulgence savoureuse, sa consommation modérée peut apporter de nombreux bienfaits pour la santé. Il est important de choisir du chocolat noir avec une teneur en cacao élevée (70% ou plus) pour maximiser ses avantages nutritionnels. Alors, la prochaine fois que vous savourez ce délicieux chocolat, sachez que vous offrez à votre corps bien plus qu’une simple friandise – vous lui fournissez une dose de bienfaits pour la santé. 

Attribut du mois : Focus Digestion 

Saviez-vous que la digestion est étroitement liée à notre santé globale ? Elle influence, entre autres, l’absorption des aliments et des nutriments, l’équilibre de notre flore bactérienne et même notre système immunitaire. Ainsi, comprendre les tenants et aboutissants de ce processus fondamental offre un éclairage sur la manière dont nos choix alimentaires et notre mode de vie impactent notre bien-être physique et mental. 

Le système digestif est bien plus grand que ce que l’on pense. Vous saviez que la digestion commence dans notre bouche ? En effet, en mâchant les aliments, la salive commence déjà la digestion grâce à ses enzymes. Ensuite, les aliments traversent l’œsophage et passent dans l’estomac, où ils sont traités par des acides et des enzymes. Les nutriments sont absorbés dans l’intestin grêle, puis l’eau est extraite dans le côlon. Les déchets forment les selles et sont éliminés par le rectum. Ce processus complexe permet au corps d’extraire les nutriments nécessaires à partir des aliments que l’on consomme. 

Afin de vous guider dans vos choix alimentaires, l’attribut « Focus Digestion » de Metro présente des produits qui renferment des grains entiers, des probiotiques ou des fibres et qui ne contiennent aucun édulcorant artificiel. Voyons pourquoi ces aspects sont importants pour une saine digestion. 

Les grains entiers et les fibres 

Les produits riches en fibres jouent un rôle essentiel dans le processus de digestion, contribuant à une saine digestion dès le début de la mastication. Lorsque les fibres entrent en contact avec l’acide gastrique et les enzymes digestives dans l’estomac, les fibres, solubles ou insolubles, ralentissent l’absorption des glucides, notamment des sucres. Cette capacité des fibres à modérer l’absorption des glucides influence le contrôle de la glycémie. En réduisant la vitesse à laquelle les sucres sont absorbés dans le sang, les fibres aident à prévenir les pics de glycémie, offrant ainsi un soutien précieux aux personnes souffrant de troubles métaboliques tels que le diabète. De plus, cette action régulatrice contribue à maintenir une énergie stable sur une période prolongée, favorisant ainsi une sensation de satiété et contribuant à la gestion du poids.  

De plus, en atteignant le côlon, les fibres nourrissent les bonnes bactéries, contribuant ainsi à une flore intestinale saine et variée. Enfin, grâce à leur capacité à former un gel, les fibres adoucissent le transport dans le côlon ce qui favorise la régularité intestinale. Intégrer des produits riches en fibres et des grains entiers comme le quinoa, l’avoine ou le riz brun dans votre alimentation favorise ainsi une saine digestion et une énergie optimale tout au long de la journée. 

Probiotiques 

Souvent désignés comme les « bonnes » bactéries, les probiotiques exercent une influence significative sur la digestion. Ces micro-organismes bénéfiques sont présents dans certains aliments fermentés comme le yogourt, la choucroute, ou dans les suppléments. Lorsqu’ils sont ingérés, les probiotiques prennent action dans l’intestin, où ils contribuent à maintenir un équilibre sain de la flore intestinale. Cette flore, appelée microbiote, joue un rôle clé dans la décomposition des nutriments non digérés, la synthèse de certaines vitamines, et renforce même le système immunitaire. Les probiotiques aident également à réguler le transit intestinal, réduisent les inconforts liés à la digestion, et peuvent être particulièrement bénéfiques après la prise d’antibiotiques qui peuvent perturber l’équilibre naturel du microbiote. Ainsi, intégrer des sources de probiotiques dans votre alimentation peut contribuer à une digestion saine et à une meilleure santé globale. 

Édulcorants artificiels 

Les édulcorants peuvent influencer la digestion de différentes manières. Tout d’abord, ce sont des composés non digestibles, ce qui signifie qu’ils traversent le système digestif sans être absorbés. Cela peut contribuer à une réduction des calories ingérées et possiblement à une perte de poids. Cependant, l’effet des édulcorants artificiels sur la digestion peut varier d’une personne à l’autre et même conduire à une prise de poids. En effet, les édulcorants ont un goût très sucré… De plus, certaines études suggèrent que l’utilisation d’édulcorants artificiels peut entraîner des problèmes gastro-intestinaux tels que des ballonnements, des gaz et des troubles digestifs. De plus, ils influenceraient la composition du microbiote intestinal, réduisant le nombre de bonnes bactéries, ce qui impacteraient plusieurs fonctions métaboliques. 

De la mastication à l’absorption des nutriments dans l’intestin, en passant par le rôle du côlon dans la formation des selles, chaque étape joue un rôle crucial pour une saine digestion. Les choix alimentaires, tels que l’intégration de grains entiers et de probiotiques, peuvent influencer positivement la digestion en favorisant une absorption efficace des nutriments et en maintenant un équilibre sain de la flore intestinale. La compréhension de ces processus offre des clés pour une alimentation consciente, contribuant ainsi à une vie plus saine et équilibrée ! 

Attribut du mois : Sans OGM

Les OGM, ou Organismes Génétiquement Modifiés, suscitent depuis longtemps des débats passionnés tant dans les milieux scientifiques que dans l’opinion publique. Les OGM sont le fruit d’une manipulation génétique visant à insérer de nouvelles caractéristiques qui ne surviendraient pas naturellement. Mais que sont-ils réellement, quelles sont leurs implications et quels impacts ont-t-ils sur nous ?  

Qu’est-ce qu’un OGM ? 

Les OGM sont des organismes, qu’ils soient végétaux, animaux ou microscopiques, dont le matériel génétique a été altéré de manière à introduire de nouvelles caractéristiques qui ne se produiraient pas naturellement. Cette manipulation génétique peut être effectuée pour diverses raisons, notamment pour améliorer les rendements agricoles, accroître la résistance aux maladies ou aux ravageurs, ou encore pour modifier certaines caractéristiques des aliments, comme leur apparence ou leur durée de conservation. 

Techniques de modification génétique des OGM 

La modification génétique des OGM peut être réalisée de différentes manières, notamment par l’insertion de gènes provenant d’autres espèces, la suppression de gènes existants ou la modification des gènes déjà présents dans l’organisme. Ces techniques de manipulation génétique sont souvent utilisées dans le but de créer des variétés de plantes plus productives, résistantes aux conditions environnementales défavorables ou aux maladies, ou encore pour améliorer la qualité nutritionnelle des aliments.

Dans le monde

Moins de 1% des agriculteurs dans le monde sont responsables des cultures génétiquement modifiées (GM), qui occupent environ 3,7% des terres agricoles mondiales. Depuis leur commercialisation il y a plus de 20 ans, plus de 91% des OGM sont produits par seulement cinq pays. Parmi les principaux producteurs figurent les États-Unis, avec 39% des surfaces GM, suivis par le Brésil (27%), l’Argentine (12%), le Canada (7%) et l’Inde (6%). Trois grandes cultures GM y sont cultivées : le canola, le maïs et le soya. Le Canada est particulièrement dominant dans la production de canola GM, représentant 86,5% de la production mondiale de cette culture.  

Au Québec 

Le Québec se distingue comme un précurseur dans la culture OGM au Canada. Les données révélées en 2017 montrent une augmentation des cultures OGM dans la province. La culture du maïs domine, suivi par le soya. En 2018, ces cultures représentaient respectivement 92% et 68% des cultures OGM au Québec, ce qui signifie qu’il y a plus de 9 chances sur 10 qu’un champ de maïs soit GM et 2 chances sur 3 pour un champ de soya. Bien que les données sur le canola soient peu disponibles, des sources non officielles estiment que près de 90% des superficies de canola seraient ensemencées en variétés GM. Malgré l’opposition de certains acteurs agricoles, tel que l’Union des producteurs agricoles du Québec (UPA), les premières cultures commerciales de luzerne GM ont été plantées en 2017. De plus, le Québec est devenu tristement célèbre pour être le premier endroit où les citoyens ont consommé du saumon génétiquement modifié. En somme, la présence des OGM au Québec est significative, dépassant celle de plusieurs pays dans le monde. 

L’étiquetage au Québec  

L’absence d’étiquetage obligatoire des OGM au Québec est un obstacle majeur au droit des citoyens de connaître ce qu’ils consomment. Alors que 64 pays ont déjà adopté cette mesure, le Québec et le Canada sont en retard. Les OGM, présents dans les aliments transformés représentent une part considérable des produits en épicerie, avec plus de 70% des produits transformés contenant des dérivés des principales cultures GM. Cette situation soulève des préoccupations environnementales et sanitaires, d’autant plus que l’utilisation de pesticides a augmenté avec l’adoption des cultures OGM. La transparence devient cruciale pour les citoyens, notamment avec l’introduction de produits comme le saumon génétiquement modifié sur le marché. Bien que la destination finale des produits OGM soit difficile à déterminer, il est clair que les dérivés de soja et de maïs GM sont largement utilisés dans les produits d’épicerie. Face à ce manque d’étiquetage, opter pour des produits biologiques est actuellement le moyen le plus fiable de consommer sans OGM. 

La tendance vers des produits sans OGM 

Face à ces préoccupations, de nombreux consommateurs se tournent vers des produits alimentaires exempts d’OGM, recherchant des alternatives naturelles et respectueuses de l’environnement. Cette tendance a conduit de nombreux producteurs et distributeurs à proposer une gamme croissante de produits certifiés « Sans OGM », offrant aux consommateurs la possibilité de faire des choix alimentaires en accord avec leurs valeurs et leurs préoccupations. 

Les OGM représentent un sujet complexe, mêlant promesses scientifiques, préoccupations sociales et environnementales. Alors que leur utilisation s’étend notamment au Québec, l’absence d’étiquetage obligatoire souligne un besoin de transparence pour les consommateurs. Pour offrir des produits plus sains et respectueux de l’environnement, une discussion ouverte et inclusive est essentielle, engageant scientifiques, agriculteurs, décideurs et consommateurs. Seule une approche réfléchie permettra de façonner un avenir alimentaire durable. 

Les trucs de grand-mère à l’assaut du gaspillage !

Par Caroline Trudeau

On le sait, la notion de gaspillage alimentaire ne peut plus être ignorée. À l’ère où la militante écologiste Greta Thunberg a été pressentie pour le prix Nobel de la paix (rien de moins !), où le véganisme gagne des parts de marché grandissantes, où le vrac dépasse largement le comptoir de bonbons – et en raison de la pandémie qui nous a forcés à revoir notre consommation alimentaire -, nos façons de faire sont dictées par une conscience environnementale accrue. En 2023, toutes les sphères de la société sont d’ailleurs en train de s’adapter à cette réalité sur laquelle on ne peut plus fermer les yeux. Mais comment s’y prendre pour changer nos habitudes sans tomber dans l’anxiété et le doute constant de ne jamais en faire assez ? Notre vision de la chose, c’est de revenir à l’essentiel et de privilégier des techniques vieilles comme le monde.

Ma grand-mère disait toujours …

Cette expression qu’a Boucar Diouf pour commencer toutes ses histoires pourrait facilement s’appliquer à la plupart des gestes de notre quotidien. En effet, nos grands-mères avaient déjà compris bien des choses en matière de respect de l’environnement et, si on s’était davantage collés à leurs pratiques, peut-être n’en serions-nous pas à chercher des solutions pour sauver la planète. Bon d’accord, les générations qui nous ont précédés n’avaient peut-être pas en tête la préservation de l’environnement lorsqu’elles conservaient leur viande dans le sel, mais il n’en reste pas moins que cette technique ne nécessite pas d’électricité, ne contient pas de produits chimiques et permet de conserver la viande de six mois à un an. Qui dit mieux pour limiter notre empreinte écologique ?

En plus, c’est une manière utile de conserver la viande et de faire des provisions de façon sensée. Ce petit exemple est probant pour nous aider à repenser notre consommation d’aliments et à réfléchir à des moyens d’être moins polluants dans notre alimentation. Notre philosophie s’inspire donc de plus en plus du mode de vie de nos aïeuls et nous amène à nous poser constamment la même question : qu’est-ce que ma grand-mère ferait ?

La technique de salaison

Pour un salage à sec, frottez la viande avec du sel mélangé de salpêtre (nitrate de potassium) ou de cendres de bois. Il faut saupoudrer la pièce de viande allégrement afin d’en saturer les moindres crevasses. Disposez ensuite la viande dans un saloir en intercalant une couche de viande avec une couche de sel. Conservez la viande au saloir pendant six mois.

Une sécheresse planifiée

Une autre technique qui a fait ses preuves est la déshydratation. Qui n’a pas en tête une belle villa italienne où des piments sont suspendus par grappes pour sécher tranquillement au soleil ? Là aussi, votre grand-mère pourrait vous en apprendre beaucoup sur la question. Pourquoi la déshydratation serait-elle bénéfique pour contrer le gaspillage alimentaire ? Tout simplement parce qu’ainsi apprêtés, les aliments peuvent être conservés jusqu’à deux ans. Que je ne voie plus aucun poivron (ou carotte, ou banane, ou raisin, ou tomate…) être jeté parce qu’il aura flétri ! L’absence d’eau empêche le développement de microorganismes (allô, la moisissure !) dans l’aliment et retarde ainsi sa dégradation. Pour ce faire, nul besoin d’outil de pointe, puisque vous pouvez faire sécher vos aliments dans un four traditionnel.

Grâce à cette technique, il devient très facile de limiter votre gaspillage alimentaire et ça vous permettra de découvrir vos aliments sous un autre jour. Si jamais vous n’êtes pas friands des croustilles de concombres, consolez-vous puisque vous pouvez sans problème les réhydrater dans l’eau.

L’éternelle poche de thé

Vous vous souvenez de cette vieille poche de thé que vous tentez désespérément de réutiliser ? Voici comment faire !

  • Une fois votre poche infusée, faites-la sécher à l’air libre ou au four à 200 °F.
  • Broyez les feuilles de thé et faites-en un exfoliant avec du sucre de canne et un peu d’huile de coco.
  • Ou saupoudrez-les dans vos plantes, ça leur servira d’engrais.
  • S’il s’agit d’un thé noir, réinfusez-le et remplissez de votre infusion un contenant à vaporisateur. Une fois le tout refroidi, vous pouvez en vaporiser sur votre tignasse pour camoufler les cheveux gris !

Poussent, poussent, poussent, les bons légumes !

Pour avoir des fruits et des légumes frais, il n’y a rien de mieux que de se créer son propre jardin. Et ça tombe bien, c’est exactement ce que votre grand-mère ferait ! Cette idée n’a rien de révolutionnaire, mais il est grand temps qu’elle fasse son chemin jusque dans votre cour. Avoir votre jardin, ça vous permet de devenir votre propre maraîcher et d’avoir accès à des fruits et légumes biologiques quand bon vous semble.

Fini les pesticides, fini les coûts élevés et fini la surproduction qui mène inévitablement au gaspillage alimentaire. Décroissance, vous avez dit ? Avoir un jardin dans votre cour vous permettra même de limiter vos émissions de gaz à effet de serre puisque vos allers-retours à l’épicerie risquent d’être moins nombreux. Avouez que descendre les marches de son perron, c’est pas mal moins long que de se rendre à l’épicerie et, en plus, ça se fait exclusivement à pied ! Et, bien que l’été tire à sa fin, il n’est jamais trop tard pour commencer à préparer son jardin de l’été prochain, ou pourquoi pas se faire pousser quelques épices ou légumes d’intérieur ?

Quel est VOTRE truc de grand-mère pour diminuer le gaspillage alimentaire ? Faites-nous savoir en commentaire !

4 vinaigrettes pour varier ses lunchs

Vinaigrette César rapide

Ingrédients

4 filets d’anchois
1 gousse d’ail coupée, hachée
30 ml (2 c. à s.) de câpres
1 œuf
15 ml (1 c. à s.) de moutarde de Dijon
250 ml (1 t.) d’huile d’olive
15 ml (1 c. à s.) de vinaigre de vin
5 ml (1 c. à t.) de sauce anglaise Worcestershire
30 ml (2 c. à s.) de parmesan ou cheddar fort, râpé
Sel et poivre

Étapes

1. Dans le bol d’un mélangeur, mettre les anchois, l’ail et les câpres. Pulser quelques coups pour hacher grossièrement. Réserver

2. Dans un bol, mettre l’œuf, la moutarde et l’huile. À l’aide d’un pied-mélangeur ou d’un fouet, monter doucement la mayonnaise.

3. Ajouter la garniture d’anchois, le vinaigre, la sauce anglaise et le fromage. Rectifier l’assaisonnement. Bien mélanger

Crémeuse à l’avocat et menthe

Ingrédients

1 avocat
125 ml (1/2 t.) de babeurre
30 ml (2 c. à s.) d’huile d’avocat ou d’olive
30 ml (2 c. à s.) de jus de citron
30 ml (2 c. à s.) de menthe fraîche, hachée finement
30 ml (2 c. à s.) d’échalote verte, ciselée finement
15 ml (1 c. à s.) de miel
Sel et poivre

Étapes

1. Dans le bol d’un mini mélangeur, mettre tous les ingrédients. Pulser jusqu’à obtenir une texture lisse et onctueuse.

2. Rectifier l’assaisonnement. Ajouter de l’eau si nécessaire.

Vinaigrette au coco, à la lime et au chili

Ingrédients

300 ml (1 conserve) de lait de coco
45 ml (3 c. à s.) d’huile d’arachide ou végétale
45 ml (3 c. à s.) de sauce de poisson
30 ml (2 c. à s.) de miel
20 ml (4 c. à t.) de gingembre frais, râpé
1 lime, jus et zeste
1 piment rouge épicé, épépiné et haché fin
Quelques gouttes d’huile de sésame grillé (facultatif)

Étapes

Dans un bol, mélanger tous les ingrédients. Réserver

Note : Délicieuse avec les fruits de mer et le poulet grillé.

Vinaigrette La Philippe

Ingrédients

190 ml (3/4 t.) de mayonnaise
30 ml (2 c. à s.) d’olives vertes, hachées finement
15 ml (1 c. à s._ d’oignon vert, haché
15 ml (1 c. à s.) de sauce chili
15 ml (1 c. à s.) de raifort
5 ml (1 c. à t.) de sauce anglaise Worcestershire
1 lime, jus et zeste
Sel et poivre

Étapes

Dans un bol, mélanger tous les ingrédients

Note : Cette vinaigrette est non seulement délicieuse dans une salade, mais elle accompagne très bien le crabe, le homard, les viandes grillés, la volaille et les hamburgers.

DUX manger mieux : c’est quoi ? 

Qui est DUX ? 

DUX, terme latin signifiant « chef », « guide » ou « leader », incarne une mission fondamentale :

À travers ses évènements rassembleurs, ses contenus éducatifs et ses recettes inspirantes, DUX rassemble et guide les consommateurs et les acteurs de l’industrie vers une meilleure alimentation pour leur santé et celle de la planète. 


Pour les consommateurs

  • Guide des meilleurs produits : L’équipe DUX évalue continuellement les produits alimentaires disponibles à l’épicerie, afin de vous présenter sa sélection des meilleurs produits.
  • Boîte thématique : Des boîtes destinées à faciliter votre quotidien qui regroupe des produits finalistes et gagnants des Grands Prix DUX qui se sont démarqués par leur valeur nutritive, leur goût et leur écoresponsabilité. 
  • Boîte surprise : Chaque mois, faites-vous plaisir en recevant 5 à 7 produits sains et savoureux soigneusement sélectionnés par nos experts en alimentation. 
  • Boîte Anti-gaspillage : Luttez contre le gaspillage alimentaire et faites de délicieuses découvertes avec cette boîte composée de 6 à 8 produits sains qui sont proches ou dépassés de leur date de péremption, mais qui sont toujours sécuritaires et délicieux pour la consommation ! 

Pour les entreprises

  • Les Grands Prix DUX : Chaque année, les reconnus Grands Prix DUX récompensent les entreprises agroalimentaires, OBNL et organisations ayant développé des produits et des initiatives qui contribuent à améliorer la santé de la population et celle de la planète. Participez à la 12e édition des Grands Prix DUX !
  • Le Match DUX : Une saine compétition où des start-ups s’affrontent dans une compétition de pitchs de vente qui encourage l’entrepreneuriat et l’arrivée sur le marché de nouveaux produits répondant aux besoins des consommateurs dans une perspective d’amélioration de l’offre alimentaire. 
  • Service d’échantillonnage : Faites découvrir et rayonner vos produits auprès des consommateurs et recevez des commentaires précieux qui vous permettront d’optimiser vos produits et votre stratégie marketing.

À travers sa mission, DUX valorise cinq piliers essentiels qui contribuent au manger mieux : 

L’offre produit : Des produits sains et savoureux, faits d’ingrédients de qualité et qui génèrent du plaisir. 

La communication : Des informations pertinentes, transparentes et éducatives. 

L’accessibilité : Initiative qui favorise l’accès au manger mieux pour tous. 

L’écoemballage : Des façons de faire écoresponsable qui diminuent l’impact de l’emballage sur l’environnement. 

La réduction du gaspillage : Initiative collective pour éviter que des denrées alimentaires soient jetées. 

Qu’est-ce que « manger mieux » ? 

Manger mieux, c’est de choisir des produits et des initiatives qui ont un impact positif sur notre santé et sur l’environnement. C’est d’être conscient de l’ensemble du produit qui est consommé, des ingrédients jusqu’à l’empreinte écologique de l’emballage. 

Pour les passionnés d’alimentation ! 

Lancé en 2021, le Club DUX rassemble une communauté de consommateurs engagés et passionnés de saine alimentation, qui jouent un rôle essentiel dans l’amélioration de l’offre alimentaire. En vous joignant au Club DUX, vous aurez l’opportunité de découvrir et d’évaluer de nouveaux produits innovants, de partager votre avis via des sondages, et ainsi, d’aider les entreprises à mieux vous comprendre et à améliorer leurs produits et leurs façons de faire. 

En vous inscrivant, vous courrez la chance de recevoir GRATUITEMENT une boîte remplie de nouveaux produits à tester. C’est plus de 100 boîtes qui sont envoyées chaque mois. C’est une occasion unique de découvrir des produits en primeur, et de contribuer à façonner l’avenir de l’alimentation. 

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5 conseils pour rendre votre alimentation plus durable

« En 2020, le secteur agricole était la cinquième plus importante source d’émissions de GES, représentant 10% des émissions nationales totales avec 69 mégatonnes d’équivalent en dioxyde de carbone (Mt d’éq. CO2) émises. » Gouvernement du Canada : Émissions de gaz à effet de serre1

Adopter une alimentation plus durable est une excellente manière de faire une différence. Il peut toutefois être difficile de savoir par où commencer. Voici quelques suggestions simples que vous pouvez adopter afin de rendre votre alimentation plus durable, sans trop vous casser la tête !

Mais qu’est-ce que l’alimentation durable?

Le nom le dit bien : durable. Il s’agit d’une alimentation viable sur le long terme qui prend en compte l’aspect économique, écologique et sociétal de l’alimentation.

Découvrez nos 5 conseils pour manger de manière plus durable

1. Mangez local et en saison

Privilégier les aliments d’ici permet d’encourager l’économie locale, mais aussi de diminuer les kilomètres de transport entre le lieu de la récolte et votre garde-manger. Les aliments locaux en saison sont également nettement plus frais et savoureux, et très souvent moins chers! Profitez-en donc pour découvrir des saveurs d’ici et laissez aller votre créativité.

Sur les emballages, cherchez l’indication « Produit/Cultivé/Récolté au Québec » ou encore la marque « Aliments du Québec » auxquelles plusieurs entreprises québécoises adhèrent.

2. Incorporez des protéines végétales

Les aliments d’origine animale (viande, œufs, produits laitiers) ont un plus grand impact sur l’environnement que les aliments d’origine végétale. Vous pouvez donc diminuer votre empreinte environnementale en variant vos sources de protéines et en ajoutant des protéines végétales à votre alimentation.

Voici quelques suggestions de délicieuses protéines végétales à essayer :

Légumineuses (soja, lentilles, haricots, pois, etc.)
Noix & graines
Céréales (sarrasin, millet, kamut, épeautre, etc.)
Tofu ou protéine de soja

3. Commencez un jardin

Cultiver vos propres aliments est un excellent moyen de réduire vos déchets et vous permet de consommer des produits frais sans pesticides ni engrais. Vous pouvez commencer par faire pousser vos propres fines herbes (basilic, persil, coriandre, etc.) ou de petits plants en pot (tomates cerises, fraises, piments forts, etc.). Si vous avez accès à une cour, vous pouvez aussi y faire pousser une variété de fruits et de légumes. Il n’y a rien de plus agréable que de cuisiner avec ses propres récoltes.

4. Faites des choix alimentaires durables

Manger durable c’est manger écologique, mais aussi équitable, éthique et sain. Ainsi, une fois à l’épicerie, il est important de faire des choix judicieux.

Voici quelques façons de rendre vos achats plus durables :

  • Acheter des produits d’origine animale (viande, œufs, lait, etc.) provenant d’animaux élevés en liberté ou en pâturage.
  • Choisir des aliments certifiés biologiques.
  • Acheter du poisson issu de la pêche durable. Plusieurs détaillants l’indiquent sur leur emballage.
  • Favoriser des aliments issus du commerce équitable.
  • Choisir des aliments avec peu ou sans emballage, en vrac ou disponibles en gros format.

5. Utilisez des applications d’alimentation durable

Voici une liste d’applications disponibles gratuitement pour vous aider à adopter une alimentation plus durable :

  • Food Hero et Flash Food : applications vous permettant de bénéficier de rabais allant de 25% à 60% en achetant certains produits alimentaires dont la date de péremption arrive à échéance ou qui se retrouvent en surplus d’inventaire. Une bonne façon de récupérer des aliments qui auraient sinon été jetés par les épiceries.
  • Seafood Watch : application la plus complète, à ce jour, sur l’achat écoresponsable de poissons et fruits de mer.
  • Frigo Magic : permet d’éviter le gaspillage alimentaire grâce à des recettes de style Touski. Le concept est simple : on sélectionne les aliments que l’on souhaite utiliser et on obtient plusieurs suggestions de recettes à faire.
Source

https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/services/indicateurs-environnementaux/emissions-gaz-effet-serre.html